Installé calmement dans mon lit. Je feuilletais un magazine sur la mode. C'était là seul chose qu'on m'a autorisé à garder. Je me doutais bien qu'on m'interdirait quelques objets mais je ne pensais pas que c'était à ce point autoritaire. De toute façon, plus les jours passé, plus j'avais envie de me suicidé. Sérieusement, il n'y aucune possibilité que je sois là pour « mon bien ». Et puis ce que ne comprennent pas les insolites d'éducateurs, c'est que je vais bien. Ma vie me plaît et je suis heureuse. Il n'y a pas un écrivain à la c*n disant que chacun avait le droit à son mode de vie?! Ou un autre disant que les camps c'était de la m*rde? En comparant mes ongles à ceux de Kate Moss, je m'aperçois que ces derniers ont besoins d'un bon coup de nettoyage. Allez hop, au boulot! Pensais-je.

HEAVEN - « Like a Virgin..., touched for the very first time. Like a Viiiirrrgin, »

Et pour me sentir un peu plus chez moi, je chantais comme à mon habitude Like a Virgin. Cela m'aider à me concentrer sur mes ongles. N'essayez pas de comprendre, c'est un truc de fille. Et d'ailleurs, ne savant pas pourquoi j'avais eu ce privilège, mais j'avais le droit à une chambre toute seule. Je ne comprenais pas pourquoi, en sachant que les autres étaient toutes trois dans leur chambre.

HEAVEN - « Like a Viiiirrrgin, When your heart beats, Next to mine , Ohhh ohhhh ohhh! »

J'aime j'aime j'aime cette chanson! Je me mis maintenant à gigoté dans tous les sens, quand soudain, un éducateur entra dans ma chambre. Je me stoppa d'un coup comme si que Mr MacDonnald avait perdu son nez rouge. Heureusement pour moi que je ne rougissais jamais! Avant que je ne puisses me lever du lit, l'éducateur commença son baratin, perplexe.


EDUCATEUR - « Heaven, j'ai une mauvaise nouvelle pour toi... »

Une mauvaise nouvelle? Il se fout pas de ma g**ule ce bigleux???!! Depuis que je suis là je n'ai que des mauvaises nouvelles!! Je vais lui faire bouffer ses lunettes à lui il va voir...!

HEAVEN - « Pour changer...! »


EDUCATEUR - «  Tu nous avais du que tu ne comprenais pas pourquoi tu étais toute seule dans une chambre et nous non plus. Jusqu'à temps que nous avons su la vérité, et que encore une fois, nous avons appris que tu nous a encore mentis. Si tu es toute seule dans ta chambre, c'est parce que tu as osé faire du charme au surveillant qui s'occupe du dortoirs. Il semblerait que ca a même été plus loin. Il est interdit d'avoir des relations avec le personnel du camp, surtout pour obtenir quelque chose en échange. Pour avoir commis cette erreur, tu seras sanctionné pour la sixième fois en une semaine, et en plus de ca, je t'emmène immédiatement dans ta nouvelle chambre »

Oh là! Quand Bigleux s'énerve, ce n'est plus de la rigolade! Je n'avais jamais fait du charme au surveillant! C'est lui qui m'avait mis la main aux fesses en premier! Et puis c'est pas de ma faute si j'attire aux hommes! P*t*in de m**de! Bon, cela ne sert à rien que j'essaie de négocier, quand ils sont une idée en tête ceux là, on ne peut pas leur enlever. Je pris mes valises que je n'avais toujours pas défait, étant donné que, j'espérais toujours pouvoir partir d'ici quelques jours et je le suivis.
Les couloirs des dortoirs était vraiment ingrats, c'était comme à la prison. Quoi que je suis que la prison est beaucoup plus excitante. Le bigleux m'ouvra la porte de ma nouvelle chambre et de mes nouvelles colocataires. Je déposa mes valises avant d'entrer dans la chambre, je ferma ms yeux et j'avance.
Après avoir fait trois bon pas, je tente d'ouvrir mon œil droit. J'aperçus une fille plutôt jolie qui écoutait de la musique, elle avait les cheveux longs, brun, et avait un style sympa. Je fus vite satisfait de cette colocataire. Évidement, ce n'était pas gagné pour elle que je ne lui fasse pas la misère, tout cela dépendait de ce qu'elle était. J'ouvris le second œil sans hésité. Et là, je vois MADAMESAINTEVIERGE la copine refoulé à l'autre bouffon d'hunter. Oh non, ce camp était vraiment de la torture, on se retrouvait avec toutes les personnes qu'on ne voulait pas voir. C'était vraiment insupportable. Je me dirigea vers ce que je pensais être mon nouveau lit. Il était à l'écart des autres ce qui me plaisait fortement. Ce que je ne comprenais pas c'était pourquoi il y avait des pull-overs et des chemisiers pour fille vierge posé sur mon lit. Étant donné connaître la réponse, je m'adressa a madamesaintevierge.

HEAVEN – Tu pourrais me tiré tes vêtements qui sort de la poubelle s'il te plait?!

Quand elle exécuta ce que je lui ai demandé, je rallais maintenant d'avoir pleins de microbes dans mon lit. C'est incroyable comme certains bidons ne connaissait pas la propreté et le respect des autres!

Je venais tout juste d’arriver au camp et ma première impression était plutôt, comment dire, désastreuse. Non mais c’est quoi cette endroit ? C’est ici que ma mère veut que j’apprenne à me sentir mieux ? Je crois qu’elle n’a pas bien lu la brochure. Pendant plusieurs jours j’évitais tout contacte avec les autres jeune d’un camp surtout cette blondasse, avec ces aire de sal*pe. Les seules personnes avec qui je parler étaient Summer et Hunter. Il avait tout deux perdu quelqu’un de chère, tout comme moi et ils me comprenaient. J'ai rencontrer Hunter un soir où je me promenée en extérieur, je me perdais dans mes pensée et je le vis. Il était lui même égarée dans ces songes et sembler préoccuper tout comme moi. Il me remarqua et avec le temps nous nous sommes rapprocher et nous nous sommes confier. Quand a Summer, c'est le hasard qui a fait que nous nous sommes rapprocher et depuis on est devenu très amies
Il était bientôt 20h30 quand je regagnai ma chambre, Joy était sur son lit à écouter de la musique et je m’installai sur le mien pour dessiner un peu. Quand je dessine je fais abstraction de tout ce qui se passe autour de moi et m’enferme dans ma bulle. Les minutes passées sans que je m’en rende compte, quand je dus sortis de mes rêves se fut pour retrouver a mon cauchemar. Quand je détournai le regard de ma feuille, je vis cette blondasse entrer dans la chambre. Mais qu’est ce qu’elle vient faire ici celle la ? Elle se dirigea vers le lit du fond et se tourna vers moi.

HEAVEN – Tu pourrais me tiré tes vêtements qui sort de la poubelle s'il te plait?!

HELORI – Je ne savais pas que les sal* pe savaient dire : s’il te plait, comme quoi on en apprend tout les jours

Je lui souri malicieusement et range mes affaires dans mon armoire. Je me remis ensuite sur mon lit et essaya d’oublier que jamais une prostituer pas très loin de moi pour retourner a mon dessin. Mais se ne fut que de cours durée. Je l’entendis se plaindre des soit disant microbes que j’ai laissé sur le lit. Je n'y fais pas attention au début mais c'est plainte comment a me donner mal a la tête. Je me redresse et la regarde

HELORI – Est-ce que ça t’arrive de la fermer ? Tu couche n’importe où toi, tu devrais avoir l’habitude des microbes.

Je me réinstalle sur mon lit et cherche mes écouteurs. Je met le son a fond pour ne pas entendre ces jérémiade et me concentre sur mon croquis. Si elle croit qu'elle peut me faire du mal, elle se fatiguer pour rien. J'ai tellement souffert que je crois qu'il est impossible de faire pire. En tout cas elle n'a pas intérêt a me chercher cette écervelée car je peut dire que ses immonde extensions ne feront pas long feu.

HEAVEN - Oh mais c'est qu'elle pleure la petite vierge, j'ai touché le point sensible? Ah bah oui comme quoi le PASSE c'est difficile! Bon maintenant, j'espère ne plu devoir te faire rappeler comment je m'appelais!

Comment est-ce qu’elle a osé faire ça ! Cette sal*pe de première. Je l’ignore et me tourne face au mur avant de fondre en larme. Comment a-t-elle eu ce livre ? Je la déteste cette blondasse avec ces extensions. Je n’ai qu’une envie : l’étrangler. Je vais lui faire payer cette humiliation, au moment où elle s’y attendra le mois. Après quelques minutes je me calme et me tourne vers elle.

HELORI - Bon, tu as gagné, mais ça ne sert a rien de se battra comme ça. Nous sommes dans la même chambre jusqu’à la fin du séjour alors autant s’entendre. Tu ne crois pas ?

Elle me regarde surprise et manche son chewing-gum sans rien dire. Je lève les yeux au ciel et lève les épaules.

HELORI - Quoi ? ah… c’est vrai… les sal*pe ne savent pas ce que c’est la gentillesse, ça doit être tout nouveau pour toi. Alors je vais t’expliquer avec des mots simples. Toi et Moi plus guerre-guerre, ou toi regretter. Toi avoir compris moi ?

Je me retiens de rire et la regarde. Elle ne m’aura pas deux fois cette c*nne. Elle me cherche elle va me trouver. Elle ma humilier et je vais lui faire payer. Je ne fois pas lui montrer que je suis faible. Voyant qu’elle ne réagis pas plus que sa et laisse apparaitre un léger sourire moqueur sur ces lèvres je lui retire son magazine et la regarde droit dans les deux

HELORI – Écoute moi bien la Barbie prostitué, tu as peut-être réussis a trouver une point faible en moi mais je te préviens cas partir de maintenant tu vas le regretter. Tu crois que je suis faible, et c’est vrai mais je sais très bien faire souffrir les autres également. Alors fait attention.

Je recule et me rallonge sur mon lit. Je repris mon dessins et remit mes écouteur. J’étais si énerver que mon crayon déchirai le papier.