.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Des colocataires ?! Ça promet..

.

Mon arrivé au camp avait était comme je l'avais imaginé. HORRIBLE. A ce moment là, j'aurais pus tuer mon père de m'avoir envoyer dans un trou pareil ! En effet, la rencontre avec les moniteurs n'avaient pas était une grande joie. Ils avaient était clair ; ici, on aura plus aucune liberté. Ils m'ont même prit mon portable. MON PORTABLE. J'ai eût beau refuser catégoriquement de m'en séparer, c'est à peine s'ils ne me l'ont pas enlever de force. Mais je comptes bien le récupérer. Parole de Dashwood. Oh, mais ce n'est pas tout ! J'avais apprit qu'il y aurait un couvre-feu ! Sans rire. Non merci, j'ai passé l'âge. Mais le pire dans toute cette histoire, c'est sûrement que je devrais partager ma chambre avec des COLOCATAIRES. Sérieux. Je refuse de partager ma chambre ! La colocation et moi, ça fait deux. Bref, lorsqu'ils ont annonçait cela, j'avais simplement déclarer que je voulais une chambre pour moi. TOUTE SEULE. Ce qu'apparemment, n'était pas au goût des moniteurs. En effet, à partir de ça, une mini-dispute a eût lieu. Mais je n'allais pas céder cette fois-ci. J'étais trop têtue pour ça. Mais les moniteurs l'étaient plus que moi.. Je n'arrives pas à y croire ! J'allais devoir partager ma chambre avec des "chères" colocataires. Si les colocations auraient était mixte, je ne m'en aurais pas plaint. Mais ce n'est pas la cas. Malheureusement. De plus, depuis mon arrivé, je n'ai pas fait que de bonne rencontre. En effet, mon sale caractère a encore repris le dessus ! Mais je ne verrais pas pourquoi je devrais sympathisé avec ces inconnues ! Être ici me demande déjà assez d'efforts. Malgré tout, j'ai tout de même fait deux trois rencontres.. sympa. Je ne suis pas dût genre à très vite m'ouvrir au autre, mais ici, j'ai l'impression qu'on a tous plus ou moins de points communs.. Le plus grand étant de vouloir rentré chez nous.

Le moniteur avait donc était clair ; je partagerais ma chambre avec deux colocataires. Que je le veuilles, ou non. Je me demandes si mon père à payer pour m'envoyer dans ce trou. Si c'est le cas, ils ont intérêt à le rembourser. De toute manière, ce camp n'y changera rien. Je ne changerais pas mon attitude pour si peu. Non, ce n'est pas ce p*tin de camp qui me changera. Ce que je n'ai pas manquée de rappeler au moniteur qui m'accompagnait jusqu'à ma chambre. Il n'avait pas l'air ravis de ma remarque mais ne me répondit pas, ce qui me surprit sur le coup. Arrivé au fameux dortoirs, il me déposa mes valises devant la chambre avant de repartir me laissant seul devant la porte de cette chambre. Cette chambre, qui allait devenir MA chambre. Je soupirais avant d'ouvrir la porte et de découvrir cette dernière qui était encore plus petite que je l'avais imaginer. Je n'en revenais pas qu'ils osaient nous faire dormir là dedans. Surtout à trois !

" - Hé, vous pouvez pas me laisser comme ça ! Vous avez vu cette chambre ?! Je refuse de dormir ici ! " criais-je au moniteur qui était déjà au bout du couloirs et semblait à peine m'entendre.

Après avoir comprit qu'il ne me répondrait pas, je pénétrais dans la petite pièce en soupirant une seconde fois. La chambre était composer de trois lit seulement. Je parcourais la pièce des yeux avant de sentir l'odeur horrible que dégageait la chambre. Je poussa un petit cri de dégout avant d'ouvrir la petite fenêtre. J'en profitais pour observer la nature. On se trouvait en désert, il n'y avait carrément rien. Juste du sable, des arbres et une petite marré pas loin. Malgré tout, au loin, on pouvait apercevoir une petite ville. Je fus surprise de découvrir une ville dans ce trou perdu. Qui aurait envie d'habiter ici ? Personne. En ma connaissance. Pas moi, dans tout les cas. Après avoir observer les lieues - si on peut appelait ça comme ça -, je laissais la fenêtre ouverte et me laissait tomber contre le mur en soupirant. C'était bien réel. Je vais devoir vivre ici pendant.. quelques temps. Je n'arrives toujours pas à croire que mon père ait oser voler ma liberté ! Oui, parce qu'en m'envoyant ici, il m'avait voler ma liberté. Ma liberté, si importante pour moi. Depuis la mort de ma mère, du moins. Apparemment, mes colocataires n'étaient pas encore arrivé. Mais, ce n'était pas une mauvaise chose puisque je refuse toujours la cohabitation. Déjà qu'avec mon père c'était dur, la, ce serait carrément impossible. De plus, je ne supporte pas me faire marcher sur les pieds et sachant l'objectif de ce camp, je ne serais surement pas la seule..

Quelques minutes plus tard, j'étais toujours à terre, adossait contre le mur, la tête dans les mains à me plaindre de ce camp quand j'entendis du bruit derrière la porte, c'était sûrement l'arrivé de mes "colocataires".

" - Et merde ! " dis-je agaçait en soupirant

.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Des colocataires ?! Ça promet..

.

Cela faisait maintenant des minutes voir des heures que j'étais dans mes pensés en scrutant la petite salle qui me servirait de chambre.. ou pas. En effet, depuis mon arrivé au camp, j'avais carrément perdu la notion du temps. Et pour cause ! Je n'arrives toujours pas à croire qu'ils ont oser m'enlever mon portable. Mon seul compagnon, mon seul moyen de survit, mon seul repère. Bon, je dramatises la chose, je sais. Enfin, pas tant que ça, cela dit. Sérieux, ce truc, c'est ma vie. Du moins, c'était vu que je dois faire sans. De plus, il n'y pas d'horloge dans cette mini-chambre. Il est hors de questions que je dormes là-dedans. Et encore moins avec des colocataires. Je trouves déjà cela trop petit pour moi toute seule, alors pour trois personnes.. Non pas que je suis pourri-gâtée. Enfin, pas totalement.. Mais disons que j'ai toujours le gout du luxe. Sérieusement que penserait ma mère en me voyant ainsi, accroupit à terre dans cette petite chambre ? Rien de bon, certainement. Mais, pour la première fois depuis sa mort, je m'en contrefichais de ce que pensait ma mère ou pas de moi. J'étais sûrement trop énerver pour me préoccuper de ces choses là. Je veux bien être courageuse mais là, c'est trop. Les moniteurs le payeront, il est hors de question que je me fis à leurs règles. Quoi qu'il en soit, cela devait faire plus d'une demie-heure que j'étais resté dans mes pensées quand j'entendis du bruit qui provenait de derrière la porte. Ce qui était très mauvais signe ; une de mes colocataires arrivés. Enfin, colocataire.. plus ou moins puisque je ne dormirais pas ici. Pas avec elles, en tout cas. Après ce boucan, ce que je redoutais plus que tout ce produit. En effet, une de mes colocataires étaient entré dans la pièce. Je ne pris même pas la peine de relever ma tête. Après tout, cette fille m'importait peu. Il était évident que je n'allais pas m'entendre avec elle alors, pourquoi se prendre la tête ? Autant ne pas se parler pour le temps qu'on va rester ensemble. En espérant que ce soit le plus court possible. Ayant un très fort caractère, je ne peux rester très longtemps dans une pièce avec quelqu'un avec qui je ne m'entend pas. Je piquerais très vite un far, sans aucun doute. Et donc, ça virerait mal très vite. Très très vite. Ma fameuse colocataires entrait donc en faisant roulé ces plusieurs valises. Du moins, je présumes vu que je n'avais toujours pas lever la tête, - que je n'étais pas prête de relever. Enfin, j'ai dût parler trop vite puisque cinq minute après, la jeune fille m'adressa la parole.

" - Hey toi ! Tu vois ce coins ? Bah c'est ton coin et celui de l'autre fille. Tout le reste est à moi. Et c'est pas négociable. "

Je relevais la tête avant de la regardait ahuri. Pour la simple et bonne raison que la seul personne qui ose me parler comme elle l'avait fait, c'était mon père. Et quand ça se produisait, ça se terminait très mal avec ce dernier. Je pus remarquer qu'elle avait poser ses valises sur un des trois lits avant de pousser les deux autres contre le mûr. Après ça, je gloussais en riant légèrement. Elle croyait vraiment que j'allais me laisser faire ? Jamais je n'accepterais de me faire marcher sur les pieds. Et encore moins dans ce fichu camp.

" - Il est hors de question que je dormes ici. Et encore moins avec.. toi. dis-je en la dévisageant assez ouvertement. Tu as dus remarquer que l'endroit.. laisser à désirer donc on partagera l'espace de manière équitable, ok ? C'est sûrement pas toi qui fera tes règles ici. Et puis, si t'es pas d'accord, la porte est pas loin, hein ! " dis-je avec un large sourire hypocrite

Je dois avouer mettre emporter sur ce coup-là. Mais elle m'avait chercher. Je n'avais aucunement décider de me retrouver là alors il était hors de question qu'on me pourrisse la vie plus que ça. Et puis, même si je détestais partager quoi que ce soit, il fallait bien cohabiter. Que ça se passe bien ou pas, je m'en contrefiche mais l'espace, j'y tient. On en aura autant chacune ! En attendant, je n'avais pas bouger d'où j'étais pendant tout mon discours. Après celui-ci, je reposais ma tête sur mes genoux en attendant sa réponse. Réponse, que je n'attendais pas particulièrement. J'avais était assez clair, selon moi. De toute manière, elle n'eut pas le temps de répondre que la deuxième colocataire entrait à son tour dans la chambre. Cette fois-ci, je relevais la tête et pus remarquer une jeune blonde. Elle fût assez direct ; après avoir remarquer les deux lits côtes à côtes, elle se dirigeait vers ces derniers avant de les pousser d'un geste avertis avant de se retrouver vers la première colocataire.


" J'espère que ça ne te dérange pas trop, mais j'aimerais aussi avoir mon espace à moi. Ce trou n'est pas plus grand que la salle de bain de ma bonne, alors... Et, au fait, je m'appelle Felicity. "

Sur ces paroles, j'éclatais de rire. Une chose est sûr ; avec celle là, j'allais bien m'entendre. Contrairement à l'autre que je ne peux déjà pas cerner. Sans attendre la réponse de la première colocataire, je me relevais avant de me diriger vers Felicity.

" Oh, trop forte ! Enfin une fille censé dans ce fichu camp. On va bien s'entendre, j'en suis sûr ! Et, moi c'est Summer. " dis-je avec un grand sourire.