Date et lieu de naissance : 14 avril 1991 – Palermo, Buenos Aires, Argentine Etude / Travail : Etudiante en journalisme, pour faire joli et pas idiote; mannequin car il n’y a rien de mieux que d’être payee pour sourire. Age : 19 ans Statut social : Divorcée dans le plus grand secret Orientation sexuelle : Hétéro, même si elle a déjà tenter cela avec des filles, pour le fun. Groupe Choisi : Teenagers
Histoire : Esta noche no entregare el corazón No confundiré el amor con la pasión
Allegra Victoria De Romero. Déjà, rien qu’à cet ensemble de mots, nos poils se hérissent, comprenant ce que cela implique d’être une De Romero. Maman, Carolina Juana, est actrice de série télévisée. Papa, Federico Danielo, est un important homme d’affaire et avocat, qui manie les chiffres de son compte en banque avec brio, de manière à les voir toujours augmenter. Grand frère n°1, Adrian Marcello, est dans la même lignée que ‘papa’. Grand frère n°2, Pablo Guido, est devenu promoteur immobilier. Il était alors normal, qu’avec une famille si exceptionnelle, le destin de la petite Allegra soit tout tracé. Tout d’abord, Allegra est une princesse. Son père le lui a toujours dit, rabâché, répété. Aucun homme ne la mérite : Ils sont tous fourbes, stupides et pathétiques. Ses frères la traitaient eux-aussi comme la princesse de la famille, seule fille en liste, et ainsi est devenue à leurs yeux une créature indigne de posséder son propre jugement. Elle était l’image parfaite, magnifique, belle de De Romero, rien de plus. Ainsi était-elle toujours tenue dans l’ignorance la plus complète des affaires de la famille, comme si cela ne la regardait point ou qu’on avait peur de la briser. Petite fille, Allegra aimait beaucoup toute cette attention. Elle aimait se sentir vivre, exister aux yeux des représentants masculins de sa famille. Sa mère, quand à elle, la détestait, mais faisait tout pour rentabiliser sa fille : Des photos par-ci, des castings pour des pubs par-là, véritable poupée humaine, Allegra passait par tout, mettant la froide distance entre elle et sa mère sur le compte de la jalousie de cette dernière. Allegra était souriante, drôle, charmeuse, enchanteresse. Elle avait un rire cristallin et une grâce innée dont rêvent toutes les petites filles. Habillée comme une reine, elle parlait bien, mangeait doucement, et était agréable à vivre, se faisait à cette existence de superficialité commune aux femmes de la famille. Elle avait déjà plein d’amoureux : Un le lundi, un le mardi, un le mercredi, un le jeudi, un le vendredi, un le samedi, et le dimanche, jour du seigneur, la blonde se reposait. Avec son grand sourire, même ses institutrices craquaient pour elle et son père, incorrigible Don Juan, affirmait à Malena, une des professeurs, que Allegra était si adorable car elle imitait ses maîtresses. La gamine n’avait pourtant que peu de temps pour jouer avec ses jouets ou ses poupées, étant ballotée entre une école catholique le matin et une école en anglais l’après-midi, ainsi que de nombreuses activités extrascolaire d’ordre de galas de charités donnés par ses parents. La petite fille qu’elle était trouvait pourtant toujours le temps de jouer à la dinette, à donner une Tea Party. Ses frères et son père étaient toujours invités, jamais sa mère. Ses frères venaient souvent, son père venait toujours, comme si son monde tournait autour de la petite Allegra. Et, dans ses fins cheveux blonds, sa main s’attardait toujours un peu trop longtemps, mais la petite fille ne s’en formalisait pas, et aimait ce rôle de princesse qu’il lui donnait. En grandissant, il était claire que la petite Allegra n’aurait d’autre vocation que d’être à l’image de la perfection glacée de sa famille. Son frère aîné suivrait les traces de son père, le second aurait un avenir brillant et une belle carrière dans laquelle il gagnerait beaucoup d’argent et s’épanouirait, et la petite Allegra ne serait qu’une jolie image de papier glacé. S’éloignant pourtant de la droiture et de la religion qui avaient bercés son enfance, Allegra commençait à ramener amis de tout sexe à la maison. Tous étaient de bonnes familles, mais éprouvaient une sorte de fascination pour la grande et parfaite fratrie De Romero. Bizarrement, aucun de ses amis n’aimaient son père, ne sachant dire pourquoi, mais tous adoraient sa mère, qui pourtant était toujours infecte avec la pauvre Allegra. La blonde pensait alors que c’était tout simplement car sa mère passait à la télé, alors qu’ils ne connaissaient pas son père, et ne cherchait pas plus loin dans son imagination de gamine. Et puis, le divorce survenu. Massif, frappant, choquant. Dans une famille comme les De Romero, les problèmes ne sont jamais étalés au grand jour, et il était totalement impossible d’imaginer la catastrophe qui allait les écraser. Le divorce ne s’est donc pas installer vicieusement mais clairement dans leurs vies, mais s’y était introduit en coup de vent, sans permission, et avait fait le plus de mal possible. Allegra pleura, beaucoup, ne comprenant pas. Au tribunal, on parlait d’adultère de la part de Carolina, et s’était ce que Federico revendiquait, pour ainsi obtenir la garde de sa précieuse Allegra. La blonde ne comprenait pas. Elle ne comprit pas pourquoi on voulu lui faire faire des tests, pourquoi on planta une aiguille dans son bras pour lui retiré du sang, pourquoi sa mère pleurait tout les soirs et devenait de plus en plus proche de sa fille, comme prise d’un affreux besoin d’affection. Elle n’était pas censée comprendre. Elle était l’image en filigrane de cette famille, belle mais idiote. Ce fût pourtant Pablo qui lui résuma tout en une phrase : « En fait, tu n’es pas notre sœur. » Sur le coup, Allegra n’avait pas compris et l’avait trouvé méchant. Elle avait onze ans, à l’époque. Pourtant, peu après, sa mère vînt la trouver très sérieusement, lui demandant avec toute la douceur du monde de faire ses valises. Lorsque Allegra demanda pourquoi, Carolina lui répondit qu’elles devaient partirent et, alors que la jeune blonde lui demandait où elles allaient, et si ses frères et son père venaient avec eux, Carolina lui lança un regard compatissant. « Non, mon cœur, on est que toute les deux. » Dans la mémoire de la blonde, ce fût la première fois que sa mère l’appela « mon cœur ». Allegra n’avait pas comprit, avait pleuré, hurlé, mais parti quand même, avec ses valises, laissant derrière elle sa maison et sa vie. Devoir laisser ainsi sa famille la tua, transformant la gamine souriante et pleine de vie en une peste sans cœur, qui jetait les garçons et faisait tourner les têtes. Elle vivait avec Carolina, qui ne se trouva bizarrement pas de nouveau mari, et ne voyait ses frères que très rarement, une semaine sur deux et la moitié des vacances. Le pire fût quand elle réalisa. Dans le fond, elle avait toujours sut que ce que Pablo lui avait dit était vrai. Elle avait toujours compris, instinctivement, mais le réalisé et pouvoir le dire à haute voie était pire qu’un coup de poignard. Son père n’était pas son père biologique. Federico n’était pas son père biologique. Il ne l’avait, évidemment, jamais été. Cette révélation la tua, lui enlevant ainsi une part de son identité, comme si on lui interdisait d’être la princesse de la famille. Comme si elle était une moins que rien, une bâtarde. Carolina leur avait menti à tous, et alors que son enfance n’avait été qu’indifférence, elle se mit à détesté cette mère qui pourtant, repentie, tentait du mieux que possible de rendre sa fille heureuse. A chacun de ses anniversaires, à chaque fête de Noël et du Nouvel An, Allegra se planterait sur le balcon de leur villa de Belgrano, et attendrait que son père biologique vienne la chercher, la reconnaisse et lui rende cette moitié d’elle qu’on lui avait furieusement arraché. Elle lui avait écrit des lettres, des mots, s’était créer un album photo regroupant les quelques maigres évènements qui avaient composés sa courte vie. Bien sûr, il ne venait pas. Il devait avoir été l’amant de sa mère et l’avoir quitté peu après, mais les choses aurait sûrement été différentes si cet inconnu avait su qu’elle, Allegra, existait, et qu’elle l’attendait, avait besoin de lui. Depuis longtemps, la jeune femme avait bien compris qu’il ne viendrait pas, jamais, et qu’elle était condamnée à être forte et à devenir indépendante. Sa mère mourut dans un accident de voiture l’année de ses dix-sept ans. A cette époque, Allegra buvait, passait de garçons en garçons et tentait de s’amusé, de recollé les morceaux. Elle n’était donc pas là lorsque l’accident se produisit, mais à une fête avec ses prestigieux amis tous plus soûles les uns que les autres. Elle aussi était bien entamée lorsque l’hôpital l’appela pour lui annoncer la mauvaise nouvelle. D’abord, elle crût à une blague de mauvais goût et rit comme une hyène, sans comprendre la gravité de la situation. Puis, quand l’information atteint clairement son cerveau, elle vécut le plus dur ‘come-back’ de sa vie. Elle était orpheline. Elle n’avait nul par où aller. Elle passa la nuit dans un parc, avec une de ses amies, à pleuré de tout son soûle, en partie à cause de l’alcool, mais surtout à cause de sa situation. Elle resta avec Valeria jusqu’à l’enterrement, puis allait être placée en famille d’accueil lorsque son ex-père pas si biologique que ça l’adopta. Il s’était remarié avec une certaine Linda, bien plus jeune que lui, et semblait heureux. Ainsi, la jeune fille redécouvrit sa chambre, son espace, ces lieux qu’elle avait chérit étant gosse, mais ils l’effrayaient. Federico la traitait toujours comme une princesse, sa main restait toujours trop dans ses cheveux, et Allegra prit enfin conscience de cette dimension malsaine qui tournait autour de cette famille. Pour la fuir, elle tomba dans l’alcoolisme et les drogues douces, puis trouva sa plus belle échappatoire : Le mannequinat, presque aussi bien qu’une bouteille de Vodka. En plus de cela, elle rencontra Ivan. Il travaillait dans un atelier de mécanique, n’avait pas fait d’étude et avait seulement deux ans de plus qu’elle. Tout d’abord, ils se détestèrent. Elle le trouvait brute épaisse, et il ne supportait pas son air indécrottable de princesse. Pourtant, ils tombèrent éperdument, passionnément, amoureux l’un de l’autre, et malgré le caractère possessif et un brin violent de Ivan, et les tendances indépendantes et impétueuses d’Allegra, ce fût chimique. Ils avaient besoin d’être ensemble, comme le sable à besoin de la mer, les étoiles de la nuit. Elle le convaincu de reprendre des études de journalisme, à condition qu’elle les suive avec lui, et affirma alors à son père adoptif qu’elle souhaitait enjoliver son CV. Oui. C’était un accord tactique : Leur liaison devait restée secrète. Pour lui, elle aurait arrêté l’alcool, ne se droguait même plus, n’éprouvait plus cet affreux besoin de s’échapper, ce sentiment d’être incomplète. Il la prenait incomplète, l’acceptait avec ses défauts, et cela faisait presque le plus grand bien de ne pas être mise sur un pied d’éstale pour la première fois de sa vie. Pourtant, après des mois, Ivan la demanda en mariage. Ne vous imaginez pas la demande super romantique avec le genou à terre, la sienne n’avait rien de tout cela, mais ressemblait plutôt à un simple : « ça serait cool qu’on se marie. Tu crois pas ? » Allegra avait haussé les épaules en répondant un simple oui, pensant qu’il plaisantait, mais lorsqu’il s’approcha d’elle en sortant une bague de sa poche, elle comprit qu’il ne plaisantait pas, et crut à un élan de romantisme. A la place, il sourit et lui dit : « Bon, tiens. Je me charge de la date. » Puis il était retourné à ses voitures. Allegra n’avait rien dit, rien pensée, bouche-bée, ne sachant que faire. Ce n’est que le soir, en se rendant compte à quel point elle était heureuse, qu’elle comprit qu’elle avait fait le bon choix. Seulement, il n’y avait plus moyen d’échapper à Federico. Toute fois, peu sûre que son père adoptif ne leur donne sa bénédiction, elle préféra attendre, pour après le mariage, et ils se marièrent donc une semaine plus tard. Ivan était en jean et en T-shirt, mais avait fait l’effort de sortir de belles chaussures et de mettre une cravate. Pour sa part, elle avait réquisitionné une de ses robes de soirée, et avait une de ses amies, Pilar, pour témoin. Lorsque son père apprit que sa fille adorée était mariée à un mécanicien de bas-étage, il ne le supporta pas, évalua la situation et envisagea même de la virer de chez lui. Seulement, de toute évidence, Federico en était incapable. Il n’avait jamais sut, ou put, résister à Allegra, au grand damne de Linda dont la jalousie était de plus en plus accrue. Seulement, Federico interdit à sa fille de le revoir, et prit même la peine d’envoyer les papiers du divorce à Ivan, qui pensait tout simplement s’être trompé sur Allegra, et avoir eut en face de lui une gamine pourrie gâtée. Avec rancœur, donc, il signa les documents et, en un tour de main, comme si rien ne s’était passé, Allegra se retrouvait de nouveau célibataire, divorcée. Cela l’atterra, lui porta le coup de grâce, et elle sombra enfin dans les drogues dure, délaissant le journalisme qui la passionnait pourtant, sortant tout les soirs et ne cherchant plus de relations sérieuses, juste des histoires éphémères. Federico se sentait coupable, mais gardait pourtant cette écœurante satisfaction d’avoir Allegra pour lui seul, d’être le seul homme de sa vie, ou presque compte tenu des demi-frères de la blonde. Enfin, elle se rendit compte qu’elle était enceinte en faisant une fausse-couche, sous l’effet de la drogue, et en pleura pendant des jours, d’avoir été trop faible pour garder un enfant, et trop idiote pour bousiller sa vie. Linda, fasse à cette décadence, tenta tant bien que mal de mettre cette fille à la porte, pour pouvoir s’épanouir avec son mari et sa nouvelle-née, Mia. En vain. Federico, trop accroché, dépendant d’Allegra et de son bonheur, préféra l’envoyer dans ce camp en Afrique, Waka Waka, dont il a entendu dire le plus grand bien.
• Souriante • Exigeante • Dynamique • Chieuze de première, Notamment sur le ménage. • Charismatique • Croqueuse d’homme Cachant un romantisme exacerbé
Les apparences sont parfois trompeuses, méfiez-vous.
Allegra est magnifique, c’est même le moins que l’on puisse dire. Déjà gamine, elle était mince et sportive, tout son corps respirant la joie de vivre. A présent, cette joie de vivre semble perdue, mais son sourire, qui illumine toujours son visage (bien qu’il soit souvent forcé) n’a rien perdu de sa beauté, avec ses dents blanches comme deux morceaux de sucres et ses lèvres pulpeuses. C’est un sourire de conquérant, à qui rien ne fait peur ou ne résiste, mais qui a aussi quelque chose d’inexplicablement attirant, chaleureux, séducteur. Elle garde aussi les mêmes yeux rieurs, enfantins que lorsqu’elle était enfant, d’un marron clair mais captivant, magnétique. Ces yeux semblent vous lancer un perpétuel défi, que ce soit « Attrape-moi si tu peux ! » ou « Essaye de capter mon attention comme je capte la tienne ! ». Oui, Allegra est ainsi, avec un air impérieux de princesse, renforcé par son petit nez fin et retroussé. Et ses pommettes saillantes. Son teint est halé, bronzé, tant du soleil Argentin que de celui d’Afrique. Oui, Allegra est magnifique, splendide, superbe, hot, canon, sexy, choisissez le terme que vous souhaitez, le résultat sera le même. Car, avant toute chose, Allegra est intense. Elle est intense lorsqu’elle rit, lorsqu’elle pleure, son magnétisme suant de tous les pores de sa peau, bien que la belle ne soit pas du genre à suer énormément, étant aussi une fausse maigre (1 mètre 84 pour 47 kilos). Elle a ainsi de longues jambes, des jambes interminables qu’elle met en valeur grâce à des jupes un peu trop courtes ou des minishorts, et possède aussi les mensurations parfaites qui rendent les autres filles vertes de jalousie : Pas un gramme de graisse, des musclés visibles, des traits d’une finesse captivante, un sourire rayonnant, une moue adorable, mais surtout des formes là où il le faut, sans être de cette disproportion qu’ont les bimbos, le front plat, la peau pas luisante pour un sous et, au contraire, douce comme de la soie. Allegra sens aussi toujours bon, tant grâce à ses parfums de marque dont elle change chaque jours, que parce que c’est naturel chez elle. Dents parfaitement alignées, pas un bouton disgracieux, la blonde prenant grand soin de sa peau, des vêtements de marques qu’elle a toujours pu se payer, et une démarche qui crie « regardez-moi ! Vous me voyez, mais je vous suis inaccessible. ». Ses cheveux sont fin, longs, et sentent la vanille, odeur du masque qu’elle applique sur eux pour ne pas qu’ils se dessèchent. Magnifiques et brillants, doux aussi, sans aucun doute, ils ne sont pas de ce blond vénitien si courant, mais d’un blond plus sombre, plus ‘dirty’, qui lui va à ravir. Toujours en stiletos, elle préfère les talons aux semelles compensées, qu’elle trouve vulgaire, et Allegra n’est pas vulgaire, puisqu’elle est splendide. Ses rides d’expressions qui se dessinent quant elle sourit réellement, avec ses yeux qui pétillent, ne font qu’ajouter à son charme intense, latin, sur lequel elle sait parfaitement jouer. La belle ne se met jamais de fond de teint, puisqu’à en mettre trop, cela donne des rides prématurément, mais prend grand soin de sa peau, et utilise des blush crème rosée qu’elle pause au creux de ses pommettes, et un maquillage assez light la journée : Du mascara pour agrandir son regard, peut-être un trait de crayon noir, des fards dans les ton dorées, beiges et marron, voir parfois vert ou corail, ainsi que du baume à lèvre et du gloss rosé. La blonde sait restée naturelle, puisque sa beauté est…et bien…naturelle. Alors, bien sûr, en soirée, elle ne résiste pas à l’appel du smoky eyes et du regard charbonneux, mais si cela reste magnifique sur elle, elle n’a pas besoin de cela pour attiré les regards. Elle est magnifique, et sublime le maquillage. Le maquillage le lui rend donc bien, tout comme les vêtements qu’elle porte. Après tout, tout lui va. Qu’elle soit en jogging ou en robe de soirée, elle reste splendide. »
Ne plus se souvenir, c'est peut-être ça, vieillir.
Allegra adore les fruits frais, en particulier la mangue, les fraises, et les fruits de la passion.
Elle possède un parfum créé spécialement pour elle, par des professionnels, sur la demande de Federico, qu’il lui a offert avant qu’elle ne parte pour Waka. Bien qu’il soit d’une odeur irrésistible, elle ne l’a jamais mit, en contradiction avec son père adoptif.
Elle ne trompera jamais la personne avec qui elle est actuellement. Elle s’amuse, a des histoires d’un soir, ou très brèves (elle a un cota maximum de deux semaines par personne), mais ne trompe jamais personne, et est donc très rancunière. Pourtant, elle considère qu’embrasser, voir aller plus loin sous l’emprise d’alcool ou stupéfiant, n’est pas forcément tromper, tant que les sentiments envers l’autre son sincère, et qu’on regrette.
Bien que Federico ait un comportement malsain à l’égard d’Allegra, il ne l’a jamais touché. Pas plus qu’il n’a touché une de ses amies et, même si la blonde ne l’avouera jamais, elle se raccroche à l’idée d’être une princesse, depuis qu’elle est arrivée ici.
En amitié comme en amour, Alegra recherche la sincérité. Elle sait s’amuser, elle sait aussi très bien manipuler les gens et faire l’hypocrite, ou se servir d’eux, mais elle a aussi des amies sur qui elle peut compter, malgré la superficialité de sa vie jusqu’à sa rencontre avec Ivan.
Elle ne cherche pas de nouvel Ivan, malgré son romantisme, et a doucement réussit à tourné la page. Waka aura donc au moins eu ça de bien.
Elle adore la danse, et chante aussi très bien, grâce à ses origines latines.
Elle ne se baladait jamais sans son blackberry pour avoir accès à son compte Twitter.
Elle a trois comptes facebook, les deux premiers étant arrivés à la limite maximale d’amis autorisés, et un fotolog où elle exposait les photos de sa vie de tout les jours.
En temps que mannequin, on lui a déjà proposé de poser nue pour un magasine. Elle a refusé. Non pas parce qu’elle ne voulait pas poser nue, mais car ce n’était pas assez bien payé.
Lorsqu’elle était petite, elle détestait les contes de Cendrillon, ou la Belle et la Bête, trouvant que Belle et Cendrillon n’étaient pas de vraie princesses.
Elle a fait pas mal de pub étant gamines, et adorait cela, mais détestait les castings et leur attente. Après tout, elle était la meilleure, non ?
Allegra peut sembler prétentieuse et arrogante, mais il suffit de la connaitre pour l’apprécier.
Elle n’aime pas les gens laid. Elle a beau faire des efforts, ça ne marche pas.
Elle déteste la fourrure, et n’a jamais envisagé d’avoir recours à la chirurgie esthétique, n’ayant aucune envie de se faire charcutée comme un morceau de viande chez le bouché.
Bien qu’elle se soit droguée et boit beaucoup, elle n’a jamais touchée à un join, ou à une cigarette. Eventuellement, elle a essayé les cigares cubains de Federico, mais ça s’arrête là.
Elle a donné plusieurs défilés pour des œuvres caritatives, car malgré ses grands airs, Allegra aime aider son prochain.
La blonde déteste restée sans rien faire, ce qui agaçait souvent ses professeurs en cours. Elle se mordait les ongles, jouait avec ses cheveux, dessinait…
Elle est trilingue : Anglais, Espagnol et Portugais, mais elle déteste la langue Française et l’Allemand.
Un jour, elle a embouti l’arrière de sa décapotable Ferrari. Pour éviter qu’elle ne recommence à bousiller sa Ferrari, Federico lui a racheté une nouvelle Ferrari à garder dans le garage et une Porshe, pour qu’elle puisse conduire en ville.
Elle déteste le chocolat, sauf le noir à 70% de cacao, et adore les sucettes.
Elle boycotte certaines viandes, comme celle de chat, chien, cheval, kangourou, requin, autruche ou autre animal exotique.
Petite, elle a voulu devenir végétarienne, ne supportant pas l’idée que des animaux soient tués pour en faire de la viande. Federico lui a alors acheté un troupeau de vache d’élevage à viande, pour les ‘sauver de l’abattoir’.
Allegra pleure dès qu’elle entend ‘Halleluja’ de Jeff Berkley, car c’était ‘sa’ chanson, à elle et à Ivan, et que sa mère l’adorait.
Elle espère toujours connaitre son père biologique, mais n’a jamais pu réellement le rechercher.
Elle a un vieux T-shirt d’AC-DC, cadeau d’Ivan, car elle a prétextée être malade pour ne pas l’accompagner à leur concert. Après tout, ils font superbement bien leur style de musique, mais ce n’est pas compatible avec les goûts de la blonde.
Elle a 100 paires d’énormes lunettes de marque, et les a toutes emmenés en Afrique.
Elle ne pourrait pas vivre en temps que femme de footballer, et a donc refusé des offres bien payées pour accompagner des joueurs argentins lors de soirée.
Allegra croit au paranormal, bien qu’elle ne l’ait jamais expérimenté.
Elle aimerait faire partie d’une ONG, et n’a jamais triché de sa vie à un examen.
Possède autant de sac à mains que de lunettes.
Allegra est maniaque de l’ordre et du rangement : Tout doit avoir une place bien organisé, et tout doit être à sa place. Lorsqu’elle va mal, c’est presque compulsif.
La blonde ne se déplace jamais sans un miroir de poche, et s’arrête toujours pour se regarder lorsqu’elle passe devant les miroirs des boutiques, ou même devant les vitrines.
Allegra est aussi plus intelligente qu’il n’y parrait.
Elle n'a jamais eu de fête pour ses quinzes ans. Non pas par manque de moyen, mais parce que à cette époque, Carolina savait que sa fille ruinerait sa fête en passant tout son temps sur le balcon, à penser à son père biologique.
Bien que pourrie-gâtée durant son enfance, elle n'a jamais vraiment profiter de ses jouets ou autre choses, à part sa dinette en porcelaine de chine.
L'Afrique, c'est un pays chaud. Donc, tenues d'été oblige. Les tenues de la belle sont donc toutes trop courtes pour être réglementaires dans ce camp et le pire, c'est qu'elle n'y peut rien, puisqu'elle n'a rien d'autre à se mettre.
Prénom / Pseudo : Mathilde Age : 16 ans, presque 17 Comment as-tu connu WWITFA ? Par un membre, Duul’ Ton avis sur WWITFA : Beau design, contexte à la fois simple et recherché, qui change de la plus part des forums, et une ambiance qui à l’air pas mal. Fréquence de connexion : Au moins 3/7, autant que possible. Avatar : Alessandra Ambrosio Code du règlement : OK, by Sum'’
Dernière édition par Allegra V. De Romero le Sam 18 Sep - 16:59, édité 1 fois
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Sam 18 Sep - 15:20
Welcome ! =) & Amuse toi bien !
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Sam 18 Sep - 17:00
Mercii
Invité
Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Sam 18 Sep - 17:21
Bienvenue à toi ! (: Si tu as des questions, n'hésites pas. Ta fiche est parfaite, je valides ! (aa)
Depravity • Live FAST & die young
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Sam 18 Sep - 18:37
Bienvenue! (:
Dirlo' au CAMP♥
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Sam 18 Sep - 19:00
Welcome miss Merci de nous avoir rejoint Amuse toi bien
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Sam 18 Sep - 19:09
Merci à vous
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Sam 18 Sep - 19:37
Bienvenuuuue ♥
Fely; Addicted to sensations
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Sam 18 Sep - 20:09
Bienvenue à toi =D
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Dim 19 Sep - 9:02
Merci à tous
Invité
Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Lun 20 Sep - 17:44
Bienvenue ;D
An addiction ofdrug.
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Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.] Lun 20 Sep - 18:42
Bienvenue !
Sujet: Re: Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.]
Y si querrés conmigo bailar, Me tenés que tratar como una princesa [T.]
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