[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Copyright

16 janvier, Argentine Etude / Travail : Etudiante Age : 18 ans Statut social : Célibataire Orientation sexuelle : Bisexuelle Groupe Choisi : Teenager Histoire : Il feuilleta le magazine à peine trente secondes avant de le refermer puis de le reposer et d’en prendre un autre. Cela fait cinq fois qu’il répétait ce même geste. Ouvrir un magazine, le feuilletait (se rendre compte accessoirement que c’est un magazine de sous-vêtements pour femme) et puis le reposait pour en reprendre un autre. Vous avez compris. Il y avait aussi son pied qui tapotait contre le sol en rythme depuis qu’il était là, suivant une musique que seul lui semblait entendre. Il passait aussi nerveusement une main dans ses cheveux et il avait déjà fait trois détours par la machine à café pour boire à chaque fois deux cafés noirs d’affilés. Le goût était tellement amer qu’il en grimaçait. Puis il retournait sur son siège qu’il l’attendait et recommençait à patienter. Mais sa patience semblait s’être fait la malle et il était à deux doigts de la crise de nerf. Inspirer, expirer, inspirer… Qu’est-ce qu’il fallait faire après ? Pousser peut-être ? Non, ça c’était sa femme qui le faisait bien qu’il n’était pas là pour y assister. Cela faisait neuf mois qu’il attendait cet heureux événement et quand il allait enfin arriver, on lui disait qu’il devait rester dans la salle d’attente parce qu’il y avait des complications. Il ne savait pas ce qui était le pire. Rester dans la salle d’attente ou le fait qu’il y ait des complications. Dans les deux cas, ils se rongeaient les ongles et semblait près à se jeter sur la première infirmière qui passait pour qu’elle entre dans ce fichu bloc et qu’elle lui dise s’il était père ou pas. Accessoirement, savoir si sa femme allait bien aurait été une bonne chose. Mais c’était le bébé le plus en danger. Aujourd’hui, les hôpitaux étaient équipés, même en Argentine, la technologie avait envahi Buenos Aires. C’était une bonne chose. Alors son épouse était entre de bonnes mains. Mais sa petite fille… Il savait que c’était une fille et il savait qu’elle serait bien plus fragile que si ça avait été un garçon, du moins il le supposait. Et puis en ce 16 janvier, c’était la canicule à Buenos Aires et cela pouvait favoriser les infections ou donner du fil à retordre à sa femme. Ay Dios Mios ! S’il ne sortait pas dans deux minutes, il allait entrer dans ce bloc, autorisation, stérilisation et microbes iraient se faire voir et royalement en plus ! Allez deux minutes, 120 secondes. 1, 2, 3, 4... 58, 59, 60, 61,… 117, 118, 119, 120. C’était trop, ils n’étaient toujours pas sortis, il allait entrer de force mais il allait voir sa femme. Alors qu’il avançait d’un pas décidé vers les portes du bloc opératoire, celles-ci s’ouvrirent sur une femme d’un certain âge, mâte et ridée qui tenait un nouveau-né entre ses bras. Le bébé pleurait, s’agitait et il avait encore un peu de sang séché sur le corps mais rien de grave, après tout cela n’était pas le sien. Dès qu’il vit sa fille, un visage qui aurait pu rivalisé avec le soleil Argentin vint illuminer le visage de l’homme et pas un seul instant il ne trouva bizarre qu’on lui apporte le bébé alors qu’il aurait dû être dans les bras de sa mère, à gigoter un peu. Pas un seul instant il ne se préoccupa du sort de sa femme. Il s’approcha à grands pas de la vielle femme qui lui fit un sourire tendre. « C’est une petite fille en parfaite santé. » « Gracias mi Señor ! » « Comment comptez-vous l’appeler ? » « Je ne sais pas, je vais voir cela avec sa mère. Comment va mon épouse ? ». Aussi vite que le sourire était venu, il s’effaça, laissant place à une grimace puis à des larmes alors que la sage-femme s’excusait, déclarant que les médecins avaient fait tout ce qu’ils pouvaient. C’était toujours ce qu’on disait. Et puis la tristesse laissa place à une rage sans nom quand le bébé se mit à pleurer. Il le haïssait cet enfant, celui qui avait pris sa tendre moitié, il ne voulait plus jamais la voir. D’un geste rageur, il poussa la sage-femme qui tituba, tomba ( se foulant la cheville). De justesse elle retient l’enfant qui hurlait de plus belle. L’homme partit en courant, hurlant qu’on pouvait faire adopter l’enfant puis au détour, il cria : « Niña de Satanás ! ». Enfant de Satan… « - Maman… Mamaaan ? Mamaaan tu es où ? » Une petite fille de cinq ans braillait dans la villa qui semblait désespérément vite. Elle cherchait sa mère qu’elle ne trouvait visiblement pas. Quelle idée d’habiter dans une maison aussi grande ! Rien que pour parcourir le patio, il lui fallait une bonne dizaine de minutes pour fouiller les recoins (oui il était évident pour la gamine que sa mère puisse se cacher derrière une plante verte, c’est sa cachette préférée quand elle joue à cache-cache) du grand hall. Rien que sa chambre aurait fait pâlir Paris Hilton étant gamine. Il y avait tellement de place que la brunette avait l’impression que tous les jouets du monde ne pourraient jamais remplir l’endroit. Bien sûr pour tester cette théorie, la fillette quémandait tous les jours deux jouets différents. Elle avait demandé à ses parents et après quelques cris, ils avaient dit oui. Pour un. Elle avait donc pleuré un peu et elle avait eu le droit à deux jouer. Néanmoins, elle était sûre que si elle menaçait de plus goûter, elle pourrait facilement arriver à trois. Elle comptait d’ailleurs faire cela demain. Sa chambre ne se remplissait pas assez vite à son goût. Enfin le sujet n’était pas là. Dulce, car oui c’était son nom, parcourait dans sa petite robe jaune tournesol sa maison pour trouver sa maison. Elle avait un devoir à faire pour l’école qui nécessitait l’aide de sa mère. Enfin, pouvait-on parler de devoir alors que la fillette n’avait que cinq ans et que le but de son devoir était de rassembler une éco… quelque chose d’elle et une photo d’elle dans le ventre de sa maman. Elle recherchait donc sa mère pour obtenir les photos et ensuite allait boire son verre de lait avec son goûter devant son dessin animé. Mais elle ne trouvait pas sa mère et le programme commençait dans pas longtemps ce qui était absolument horrible parce que louper Oui-Oui y su coche amarilla était inenvisageable pour elle. Elle ouvrit la porte menant sur le jardin et la referma aussitôt. On est en juin et la canicule frappait de plein fouet l’Espagne et Marbella plus particulièrement. Dulce soupira, il allait falloir qu’elle grimpe à l’étage. Elle soupira bruyamment et entreprit de monter les marches. Main après main et pied après pied, ne pas se brusquer. Elle parcourut l’intégralité du premier étage et dut monter jusqu’au troisième pour trouver sa mère dans l’unique pièce de l’étage, la bibliothèque. L’odeur de renfermé lui fit froncer le nez et elle entra à contrecœur dans la pièce étouffante. Sa mère lisait, une citronnade dans une main, quand elle vit sa fille. Elle referma son livre. « Oh, excuse moi mi querida, je n’avais pas vu l’air, je ne savais pas que tu étais en train. ». La gamine hocha simplement la tête, pensant qu’elle pourrait en profiter pour avoir la peluche géante de la bestiole géante jaune qui disait Ouba Ouba ! Elle la voulait ! « Pas grave mama ! La maîtresse m’a donné une devoir » annonça la gamine, fière d’avoir une responsabilité. « Ah ! Dis moi tout mi corazon. » « La maîtresse m’a dit de ramener une éco-gra-phie ! Et une photo de toi avec moi dans ton ventre quand tu étais toute grosse ! ». La mère eut une petite grimace. « Je n’étais pas vraiment grosse. Et pour tout te dire, je n’en ai pas de ces photos. Je les ai perdu pendant le déménagement. » « Mais et mon devoir maman ? » La fillette avait les larmes aux yeux que la femme s’empêcha d’essuyer. « Ne pleure pas mi angel, je vais appeler ta maîtresse et lui expliquer. Et puis je t’offrirai cette peluche du marsupilami d’accord ? » Peluche ou devoir ? « D’accord, je vais voir oui-oui ». L’enfant partit comme une fusée alors que la mère la regardait courir, lui criant de faire attention dans l’escalier. Elle essaya de se replonger dans sa lecture mais n’y arriva tout simplement pas. Avec un soupir, elle abandonna le livre. A côté, il y avait des papiers. « Papeles de adopción. » Papiers d’adoption… Il est nécessaire ici, à partir de ce passage, de faire un interlude. Cet interlude évoquera rapidement l’enfance de Dulce. Enfant abandonnée, adoptée par une famille extrêmement riche, raconter son enfance après cet épisode n’a aucun intérêt pour l’histoire du personnage. Dulce a grandi comme une enfant normale. Aimée, pourrie gâtée, elle a eu tout ce qu’elle désirait avoir, de manière fourbe ou non. Pendant dix ans, elle a vécu heureuse, entouré d’une famille qui l’aimait et tout allait pour le mieux. Néanmoins, tout ne ressemble pas à un conte de fée. La quinzeñera. Une fête très populaire en Espagne. En France on fête ses dix-huit ans, en Amérique ses vingt et un ans. Mais en Espagne, une jeune femme qui atteint ses quinze ans devient une femme et il est nécessaire de fêter cette fête comme il se doit. Au programme, robe de princesse, fête hors de prix avec des petits fours délicieux, du champagne, des invités extrêmement connus dans le cas de la fête de Dulce. Bref, n’importe quelle fille en rêverait et surtout une fille comme Dulce. Devenue la petite reine de son lycée, sa quinzeñera était la première à être célébrée et il était clair qu’elle allait devoir être parfaite pour qu’aucune des autres fêtes ne puisse la dépasser. Et il était clair que Dulce allait tout faire pour cela soit le cas. Elle était intenable depuis quelques temps, sèche avec tous le monde, donnant des ordres à n’importe qui sous l’œil bienveillant de ses parents qui ne savaient pas lui dire non. Il était même possible que la brune n’ait jamais dû essuyé un non de sa vie. En bref, après avoir refusé une robe de Dolce et Gabana, on ne pouvait pas imaginer pire caprice que celui-là. Elle avait opté pour une robe Gucci rose bonbon avec le maquillage assorti. Le voile, les chaussures, tout devait être parfait et tout allait l’être. Les quelques semaines qui précédèrent la fête furent difficile à vivre pour les proches de la brune qui aboyait plus les ordres qu’elle ne les disait. Et quand enfin la fête arriva, ce fut comme un souffle de soulagement qui parcourut tous les invités qui pourraient dès le lendemain retrouvait le peu de fierté qu’ils avaient conservé en exécutant les moindres désirs de la jeune femme. Le seul qui n’avait pas craqué était Carlos, l’oncle de Dulce qui ne supportait pas sa nièce et la réciproque était véridique. Les deux ne pouvaient pas se voir et quand ce dernier lui souhaita une bonne fête, il sentit les douze centimètres des talons que la brune avait choisi de porter lui rentrer dans le pièce et bien sûr c’était loin d’être agréable bien qu’il devait avouer avoir des tendances pour le sadomasochiste. Oui, on a tous nos défauts… La fête battait de son plan, les sourires éclairaient tous les visages et Dulce avait ouvert tout ses cadeaux avec délectation, ayant déjà prévu d’en échanger la moitié contre des choses moins niaises. La journée commençait à sa fin et il ne restait plus que la valse entre le père et sa fille pour clôturer la soirée, le moment le plus important, le clou du spectacle. Le père de Dulce fit un discours qui ne laissa que deux trois yeux secs dans la salle puis s’absenta avec sa princesse pour aller lui chercher son cadeau qu’il avait délibérément laissé dans la voiture. Ils s’y rendirent bras dessus bras et c’est là que se produisit le malheur, celui qui allait changer la vie de Dulce en un véritable cauchemar. « Attends-moi la chérie, je vais chercher ton cadeau. » L’homme s’était garé de l’autre côté de la route, il faisait nuit. D’un pas vif, il commença à traverser la chaussée. De son côté, Dulce sautillait autant qu’elle le pouvait sur ses talons, imaginant toutes sortes de cadeau. Elle ne remarqua pas tout de suite la lumière vive arriver puis se rapprocher de plus en plus mais quand le choc arriva, elle sentit l’effroi l’envahir. Quelques secondes, les chaussures étaient abandonnées alors qu’elle courait. « PAPAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!! » Ce soir-là, il n’y eut pas de cadeau pour Dulce. Ce fut plutôt la vie qui en reprit un, un qu’elle avait fait quarante ans plus tôt. Un qui nadie baila con su hija. Un qui ne dansera jamais avec sa fille… Les obsèques furent émouvants. La mère, la fille et l’oncle se tenait devant, les autres invités derrière. Dulce ne pleura pas. Elle avait déjà assez pleuré. Dès qu’on venait lui souhaiter les énième plus sincère condoléances, elle souriait. Un sourire lumineux, comme si on lui annonçait une bonne nouvelle. Derrière elle cachait sa détresse, son mépris pour tout ces gens qu’elle ne connaissait pas, sa condescendance, elle cachait toutes ses émotions derrière un sourire. Elle voulait essayer de garder la tête haute alors que les commérages allaient déjà bon vent. Sa mère s’était totalement effondrée et même elle avait pitié. Elle ressemblait plus à une carcasse qu’à un être humain. Son oncle quant à lui s’était installé chez eux et avait tout pris en main. La guerre était ouverte entre les deux. Il était clair que Carlos voulait prendre la place de son père. Il voulait l’argent, sa mère mais elle, elle pouvait aller rejoindre son père qu’il ne verserait pas une larme. Ils se haïssaient. Dulce parce qu’il ne l’aimait pas et Carlos pour une raison qu’elle allait apprendre de la plus horrible des façons. En ce jour de février, Dulce était agacée, elle figurait sur testament de son père mais son oncle avait refusé qu’elle assiste à l’ouverture de ce dernier et sa mère avait suivi, elle était devenue une poupée de chiffon. L’énervement avait redoublé quand elle avait été sur Facebook et qu’elle était tombée sur des commentaires horribles sur sa personne. La reine en exil. Elle n’avait pas abandonné son trône ! Agacée, elle finit par décider d’aller écouter en douce ce qui se passait dans le bureau. Elle allait vite le regretter. Quand la jeune femme arriva, elle entendit une voix crier. C’était celle de son oncle bien évidemment. Elle s’approcha pour mieux écouter ce qu’il disait. « JAMAIS ! VOUS M’ENTENDEZ ! JAMAIS LA FORTUNE DES SANCHEZ N’APPARTIENDRA A UNE BATARDE ! » Une bâtarde ? De quelle bâtarde parlait-il ? Elle ? Non, il ne l’aimait peut-être pas mais il y avait des limites tout de même. Est-ce que son père avait une enfant illégitime ? A cette idée, son sang ne fit qu’un tour à cette idée, jamais son père n’aurait pu faire ça. Elle se reconcentra sur la conversation. « Mais enfin Carlos, c’était ta nièce ! Dulce n’est peut-être pas… » « MA NIECE ! NON SUREMENT PAS, C’ÉTAIT UNE BATARDE ARGENTINE ! CE N’EST PAS PARCE QUE MON FRERE TOLERE L’ADOPTION QUE JE FERAIS DE MEME, QU’IL ELEVE DULCE CERTES MAIS ELLE N’AURA JAMAIS MON ARGENT ! » Le sang de la brune s’était glacée. Bâtarde… Adoption… Elle n’était pas une Sanchez, elle était une enfant adoptée… Argentine de surcroit… Elle était la fille de personne, cette évidence s’imposa vite à son esprit et les larmes menacèrent de couler. Une bâtarde, c’est donc cela qu’elle était. Une profiteuse qui avait déjà eu assez d’argent des Sanchez. Elle sentit la colère affluait en elle et elle retient ses larmes du mieux qu’elle put. Sans réfléchir, elle ouvrit violemment la porte qui claqua contre le mur, tous les visages se tournèrent vers elle. Sa mère prit une expression de poisson rouge alors que son oncle s’avançait. La gifle claqua, le bruit résonna dans la pièce. Dulce porta la main à sa joue rouge. Elle lança un regard à sa mère qui baissa les yeux. C’était comme ça donc. D’une voix froide, plus froide qu’elle n’aurait pensé. « Alors comme ça je suis une bâtarde ? A ta guise mais écoute-moi bien. Sanchez ou pas je ne te laisserai pas faire ta loi ici, détruire toute la famille que mon père avait construit. Je suis une Sanchez aux yeux de la loi, que ça te plaise ou non, alors l’argent et à moi, et ta réputation tu peux lui dire adieu. » Sur ceux la jeune femme tourna le dos et quitta la pièce. Pendant trois ans, Dulce enchaîna scandale sur scandale. Couchant avec n’importe qui, elle échappa aux MST, mariages et grossesses par chance. Elle but, finit soul au lycée, insulta ses profs, prit de la drogue. Sexe, drogue et alcool, la vie est bien pâle tant que l’on n’y a pas goûté. Pourtant, elle n’était pas dépendante, elle défiait son oncle. Elle ne croyait pas qu’il réagirait. Elle ne croyait pas non plus qu’aujourd’hui elle se retrouverait devant cet arbre avec un panneau où se trouvait marquer : Camp Waka Waka. Ca il fallait le croire pour le voir. Son oncle avait gagné, échec et mat Dulce.

• Souriante • Possessive • Franche • Déloyale • Logique • Séductrice/Volage [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

Les apparences sont parfois trompeuses, méfiez-vous. « Dulce est une magnifique Latina-americana, le sang chaud coule dans ses veines et pour être chaude, elle l’est, ce n’est pas les hommes qui diront le contraire. Magnifique, elle l’est. Lèvres pulpeuses, cheveux bruns qui ressemblent à de la soie et qui cascadent en boucles ondulés dans son dos, on pourrait presque la comparer à une lionne sauvage, et pour la dresser bon courages. Ses yeux couleurs verts d’eau sont souvent mis en valeur par un maquillage charbonneux qui souligne l’intensité de son regard. Clair contre sombre. Ses fossettes adorables, son nez en trompette, ses oreilles toujours occupées par des anneaux imposants, son corps de rêve, son bonnet C, son ventre plat, sa peau dorée, ses vêtements de luxe, sexy. Il est clair que la brune est magnifique. Perchée sur des talons qui semblent vertigineux et surtout incompatibles avec l’Afrique, elle donne à ses jambes l’impression d’être infinies. 1m75 pour 50 kilos, elle n’a aucun kilo en trop, même pas un gramme. Dulce est vraiment magnique. »

Ne plus se souvenir, c'est peut-être ça, vieillir. « - La jeune femme a demandé à ses parents douze shetlands qu’elle a eu mais qu’elle n’a jamais monté quand elle était gamine. - A cinq ans, elle a eu le droit à une bracelet en or qui pesait pas loin de cinq kilos et qui avait le double de zéro qu’elle n’a jamais mis. - Elle a failli cramer les cheveux d’un mannequin à l’âge de dix ans lors d’une journée caritative. - Elle sourit en permanence mais cela camoufle son mépris. - Elle a beaucoup d’amies bien qu’elle soit désagréable avec elle mais elle les fait se sentir inférieure donc elles restent ou alors elles sont sado-maso. - Elle peut mentir mais les autres ne peuvent pas. - Elle vivait avec Twitter, elle doit apprendre à vivre sans. - Elle s’est battue pour une robe. - Elle ne porte que des lunettes de soleil Dior. »

Prénom / Pseudo : Emma
Age : 17 ans
Comment as-tu connu WWITFA ? Par Obsession
Ton avis sur WWITFA : Le coup de foudre tout simplement, j'avais dit que je ne me réinscrirais pas sur des forums tout de suite mais j'ai craqué ♥
Fréquence de connexion : 5/7
Avatar : Adriana Lima
Code du règlement OK, by Sum'