Il n’était pas loin de 22h, je me suis rendu dans le salon pour respirer un peu. C’est sal*pe de Heaven me pourrissait mon air. Je rentre dans le salon. Personne, je pris un livre dans la bibliothèque et m’assit dans le canapé. Enfin un peu de calme, ça fais du bien. Je ne supporte vraiment plus cette fausse blonde à extension. Si je la revois je l’étrangle. Les minutes passée quand j’entendis la porte s’ouvrir. Je relève la tête de mon livre et vois un éducateur.
EDUCATEUR – Helori ? Qu’est ce que tu fais ici tout seule et pas dans ta chambre ?
HELORI – Bah il y une espère ce chose blonde dans ma chambre.
EDUCATEUR – Heaven ?
Hannnn… mais comment il est trop fort ! C’est bizare tout le monde trouve du premier coup. Il suffit de dire : Sal*pe, blondasse, un truc blond et on trouve tout de suite de qui il s’agit.
HELORI : Gagner !
EDUCATEUR : je vois, mais je suis sur que avec le temps vous deviendrais amies.
Je me retiens de rire et le regarde. Non mais il l’a vu ? C’est impossible qu’elle est des amis celle là. Ces seuls amis c’est ses fringues et encore… Alors moi devenir ami avec cette chose ? Plutôt mourir. Je finis par l’ignoré et me replonge dans ma lecture.
EDUCATEUR : Bon, je veux te voir dans ta chambre dans 30 min.
Je ne l’écoute pas et il sort du salon. J’ai à peine le temps de me replonger dans l’histoire que quelqu’un d’autre entre dans la pièce. Je redresse juste les yeux et quand je vis cette personne je me redresse d’un coup à bout de nerf.
HELORI : Oh non pas toi !
Dernière édition par Helori M. Leonor le Dim 19 Sep - 20:55, édité 1 fois
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Ayant toujours trouvé aucune issue pour me sauver, j'étais limite au bord du suicide volontaire. Ah oui c'est vrai, le suicide c'est forcément volontaire! Mais j'y pense: pas forcément. Imaginons que je me suicide, ce ne serrait pas volontaire, étant donné la beauté que j'acquis, la force et l'intelligente que je possède, c'est légalement impossible que je veuille mourir. Cela dit, malgré le fait que je n'arrêtais pas de pensé à des choses d'aucune utilité, je m'ennuyais un petit peu. J'étais plutôt bonne dans le commérage et dans le « foutage de m*rde ». Enfin bon, moi, je suis bonne dans tous les domaines vous savez... Je réfléchissais, comment j'allais occupé mon postérieur et mon intelligence. Et tout de suite, je vis, dans mes pensées les plus moches, la sainte vierge d'Helori. Ne soyez pas surpris, c'est vraiment dans mes pensées les plus horrible, même pas un chien fantasmerais sur elle! Je vis tout de suite un plan s'élaborer en moi: étant donné que le Hunter ne fout jamais rien de ses c*uilles, il va bien falloir que je l'occupe lui comme elle.
Je sortis de la chambre et chercha là pucelle. Qu'elle est vilaine celle là, malgré son gros postérieur elle arrive à se faufiler n'importe ou. Après avoir fait le tour, je ne l'avais toujours pas trouvé. En revanche j'avais vu Hunter, je suis passé devant lui en le bousculant et en lui faisant un sourire, un peu démoniaque je dois l'avouer. Il ne savait pas ce qu'il allait lui attendre, pensais-je. Je vis l'éducateur venir vers moi. Tiens, j'allais lui demander ou elle est l'autre, il l'a sûrement vu, mais avant que je dise quelque chose, il commença la conversation.
EDUCATEUR - « Tu as fait quoi à Helori?! »
Hein?! Non mais qu'est-ce qu'il a lui?! C'est pas parce qu'il est plutôt sexy qu'il doit venir me faire chi*r alors que je n'ai rien fait, enfin je crois...!!
HEAVEN - « Hmmm... L'amour?! »
J'éclatais de rire, rien qu'en disant ses deux mots, il était très énervé.
EDUCATEUR - « Écoute Heaven, garde ton humour pour toi. Je viens de parler à Helori, elle a l'air d'être très en colère après toi et je me demande ce qu'il s'est passé. Je te donne un avertissement: j'aime beaucoup Helori, elle a un cœur sensible et un lourd passé, alors évite de la torturer, okay?! Et je te préviens je te surveillerais Heaven. »
Je rigolais encore plus, c'est moi ou il dit que de la m*rde l'éducateur?! Étant donné qu'il venait de parler à la chaste, il devrait savoir ou elle est. Au tant commencer les manipulations avant l'heure, pensais-je. Je pris un air sérieux et un peu triste.
HEAVEN - « Je sais écoute, c'est la dernière fois, je lui avais emprunté un tee shirt car je le trouvais jolie et elle n'avait pas vraiment apprécié. Mais je te jure que je n'ai rien fait de mal, je l'aimais plutôt bien, je voulais être son ami, mais elle est plutôt dur avec moi par ma vulgarité. Je suis vraiment désolé, je vais aller lui présenter mes excuses, tu peux me dire ou elle est s'il te plait? »
Et comme d'habitude, l'éducateur croie à tous les bobards que je lui raconta. Ils étaient vraiment tous bornés! C'est incroyable. Le pire c'est que ses tee shirt étaient tous horrible et trop grand pour moi, il est impossible que je touche à ses fringues venant tout droit des poubelles! L'éducateur, reconnaissant, continua la conversation:
EDUCATEUR - « Bon d'accord. Je veux bien te croire qu'il y a eu un malentendu. Elle est dans le salon en train de lire un livre, tu peux allez la rejoindre pour parler calmement. Pendant ce temps, je rentre chez moi, je ne reviendrais que ce soir, mais attention Heaven, je gardes toujours les yeux sur toi. »
Oui, abrutis! Pensais-je. Je partis en direction du salon. J'ouvris la porte et entra. A peine rentré que la chaste commença à gu*uler. Qu'est-ce qu'elle me fait chi*r cette brunette de m*rde!
HELORI - « Oh non pas toi ! »
Sans l'écouter, je m'assois juste à coté d'elle, en la poussant un peu, croisa les jambes et je pris un chewing-gum. Je lui demanda si elle en voulait un, elle ne répondit pas. Je commença la conversation, en essayant de la mettre à l'aise.
HEAVEN - « Dit, tu le trouves comment l'éducateur? Car il a plutôt l'air de t'apprécier...! »
Elle me regarda, d'un air un peu innocent, moi je continuais toujours à mâcher mon chewing-gum. Et comme elle ne répondit toujours pas, je pris le plan B avant qu'elle s'échappe. Le plan B consiste à lui faire croire les bobards que je veux lui faire avaler, grâce au portable. Observait bien les b*tchies, vous n'avez jamais sûrement vu cette méthode. Vous ne pouvez que prendre de la graine avec moi, de toute façon.
Je pris mon blackberry, et commença à écrire un sms destiné à tous les contact du campus sauf Helori et Hunter.
« SCOOP: Hier, la directrice du campus à entendu la conversation d'Hunter et d'un autre garçon du campus. Dans cette conversation Hunter aurait insinué qu'il voulait se t*pé la petite Helori, et c'est d'ailleurs pour ça qu'il est sympa avec elle. Il aurait confirmé qu'il fantasmait que les petites vierges. Il serait d'ailleurs en ce moment présent dans le bureau de la dirlo, il risque encore d'avoir une sanction. Mais attention, Malori n'est au courant de rien, il ne faut rien lui dire, pour éviter les sanctions au campus des élèves. A bientôt pour un nouveau SCOOP. »
Évidemment, il ne fallait pas que j'envoie le message, donc je posa mon black berry sur le canapé à coté d'elle, avec le sms écrit prêt à être envoyé et je partis me cacher derrière les bibliothèques. Je la vis regarder les alentours pour voir si j'étais bien partis, après quelque minutes, elle pris mon portable et lis ce qu'il y avait décris. Le poisson mord à l'hameçon, pensais-je. Je reviens m'assoir avec un livre cinq minutes après, elle avait les larmes aux yeux. Je repris mon portable et observa que le message a été supprimé, je le rangea sans rien dire et je l'entendis prononcé quelques mots...
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Sujet: Re: Ménage à Trois... Dim 12 Sep - 11:20
HEAVEN - Dit, tu le trouves comment l'éducateur? Car il a plutôt l'air de t'apprécier...!
Qu’est-ce que qu’elle est c*nne. Je ne fais pas attention à sa question et je ne réponds même pas. Elle continua de marcher son chewing-gum brouillâmes et je la vis sortis son téléphone portable de sa poche. Elle a encor du le volé dans le bureau du directeur celle-là. Elle est pitoyable. Elle commence a écris quelque chose avec son blackberry et sans aucune raison, posa le portable sur le canapé et partis chercher un livre. Elle sait lire elle ? Enfin… J’étais tellement tenter de prendre son téléphone. Je regarde autour de moi et ne vis personne. Je pris donc le portable et lu le message qu’elle n’avait pas encor envoyé.
Message : « SCOOP: Hier, la directrice du campus à entendu la conversation d'Hunter et d'un autre garçon du campus. Dans cette conversation Hunter aurait insinué qu'il voulait se t*pé la petite Helori, et c'est d'ailleurs pour ça qu'il est sympa avec elle. Il aurait confirmé qu'il fantasmait que les petites vierges. Il serait d'ailleurs en ce moment présent dans le bureau de la dirlo, il risque encore d'avoir une sanction. Mais attention, Malori n'est au courant de rien, il ne faut rien lui dire, pour éviter les sanctions au campus des élèves. A bientôt pour un nouveau SCOOP. »
J’eu un moment de blanc et mes mains se mirent à trembler. Je m’empresse de supprimer le message et repose le téléphone avant que Heaven ne revienne. Les larmes coulèrent tout seul sur mes joues sans que je puisse les arrêter. Je ne pensée pas que Hunter était capable de faire ça. J’avais confiance en lui, comme j’avais confiance en Logan. Il me manque tellement, je croyais enfin avoir trouvé quelqu’un qui aurait pu m’aider à oublier sa mort mais je me suis tromper. Il n’y avait que Logan qui pouvait me comprendre. J’étais à la fois troublé, furieuse et effondré.
HELORI – C’est… C’est vrai ce qui était écrit ?
Dernière édition par Helori M. Leonor le Dim 19 Sep - 20:54, édité 1 fois
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Je trouvais la décoration de la bibliothèques un peu fade. A vrai dire, je n'aimais pas du tout les bibliothèques, c'était loin d'être mon lieu de fréquentation. Pour faire simple, mes lieux de fréquentation habituel étaient le matin, la baignoire, l'après midi, les magasins et le soir, les fêtes. A New York, je ne faisais rien, c'est à dire que je ne travaillais pas. Je faisais beaucoup du mannequinat mais j'appelais pas ca du travail étant donné qu'il faut peu de chose pour me rendre belle. Revenons à nos moutons, pensais-je, avant que New-York me hante de nostalgie.
La brunette qui ne cessait de pleurnicher arrivé à prononcé quelques mots malgré elle.
HELORI - « C’est… C’est vrai ce qui était écrit ? »
Notre demoiselle s'avère convaincante. En effet, pour l'instant je m'en sors très bien. A vrai dire c'est pas le première fois que je le fais! J'avoue être un peu surpris de l'avoir embobiné aussi vite, car, elle semblait plutôt futé et intelligente. Cela dit, je pense que la rage la hantait, comme pour tous les autres dans ce campus. Personnellement, j'en ai rien à f*utre, ce ne sont pas mes affaires.
Je pris mon plus grand sérieux avant de lui répondre.
HEAVEN - « Écoute, tu n'étais pas censé voir et savoir ça. C'est ce qu'on m'a dit, et j'ai eu la confirmation de l'éducateur, qu'Hunter avait rendez vous ce matin dans le bureau de la dirlo pour être sévèrement sanctionné. Mais il semblerait qu'il l'a dit ses propos déjà à beaucoup de personnes, tu aurais du faire attention à lui, c'était marqué sur son dossier: qu'il voulait coucher avec toutes les filles qu'il parlait. C'est un p*tain de mec comme les autres! »
Helori sanglotait encore. Je crois que je vais être obligé d'aller chercher un sèche cheveux pour sécher le livre qui était déjà tout inondé. Elle secoua instinctivement la tête et je remarqua qu'elle portait un chouchou. « Non mais quel horreur! » Pensais-je! Qui portait encore des chouchous?! Personne! C'est tellement laid, tellement gros, tellement démodé! Helori était vraiment une miss Camping! Même si elle l'avait mis qu'eux pour lire! On ne porte jamais ce genre de truc. Elle a beaucoup à apprendre. Certes, il ne faut pas que j'oublie de faire avancer les choses.
HEAVEN - « Enfin bon tu sais ma chérie, moi ca ne m'étonne pas. Malgré ce que tu penses, Hunter m'a fait des avances la première semaine au campus. J'ai refusé de coucher avec lui pour ne pas etre une de ses proie et c'est pour ca que depuis il me hais, et c'est d'ailleurs pour ca qu'il t'a raconté des salades sur moi. Je suis pas si méchante que ca, avec les gens gentils, j'suis gentille. »
Sérieusement, je mériterais un oscar de la fille la plus forte en mensonge. Et oui, j'en suis fier!
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Sujet: Re: Ménage à Trois... Mer 15 Sep - 20:23
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Ce matin-là, le soleil s’était encore levé, comme chaque jour, sur le camp Waka Waka en Afrique, là où se retrouvaient coincés pas mal d’adolescents dits « en crise ». Hunter, qui s’était fait passé pour malade, il y a quelque jours de cela l’était vraiment devenu.. Il avait sans doute mangé quelque chose qu’il n’avait pas supporté. Pourtant, au camp, la nourriture servie ne changeait pas tant que cela, et les produits étaient - sensés en tout cas - frais. Mais il y avait sans doute quelque chose que son estomac n’avait pas supporté, et ce jour-là, il avait vomi - sans se forcer cette fois - toute la matinée. Pâle comme un linge, et malade comme un chien, il avait passé sa matinée dans sa chambre à se reposer. L’infirmière, qui avait cru que cette fois-ci il plaisantait, alors que c’était fois, c’était vrai, avait eu du mal à le croire, mais voyant son état on ne peux plus faible, elle comprit enfin qu’il était vraiment malade, et cru que son virus de la dernière fois était simplement revenu, pour elle-même ne savait quelle raison. Le jeune homme avait donc était mis une nouvelle fois en quarantaine, et n’avait eu aucun contact avec les autres élèves de l’établissement, par simple mesure préventive, qu’ils disaient. Il s’était donc recouché, et avait essayé, tant bien que mal de dormir, mais c’était peine perdu, puisqu’il se levait toutes les dix minutes environ pour aller vomir… Le spectacle n’était pas beau à voir pour être franche..
Après avoir enfin réussi à s’endormir quelques petites heures, deux pour être précise, le jeune homme, toujours en quarantaine, s’était ennuyé totalement. Il avait lu un peu, mais l’envie n’y était pas. Le moral non plus. Vous avez déjà vu un mec malade je suppose. Pour eux, ne serait-ce qu’avoir un simple rhume, leur donne l’impression de mourir sur place. Alors imaginez un peu le mélange gastro et grippe. Très fiévreux, il réussissait à peine à courir jusqu’aux toilettes. Son organisme manquait cruellement d’énergie, et même couché, il avait l’impression qu’il allait faire un malaise. Une horreur quoi… Pensant que l’infirmière allait lui apporter son repas dans sa chambre, comme la dernière fois lorsqu’il avait été - faussement - malade, il l’attendit patiemment, mais celle-ci ne ramena pas le bout de son nez. Il l’avait attendu patiemment pendant une heure, mais elle n’était pas venue. Il était à présent près de 21heures et il commençait à avoir faim. Tant pis si ça ressortait plus tard, l’important c’était qu’il avale quelque chose. Hunter s’était alors levé, et, fébrilement, était sorti de sa chambre, voyant les couloirs vides. À cette heure-ci, les autres ados avaient du se donner rendez-vous dans la chambre d’untel ou d’unetelle pour faire on ne sait quoi, comme la plupart du temps. Il était alors allé voir l’infirmière et la trouva assoupie sur le petit canapé dans son bureau. C’était sûr que comme ça, elle ne risquait pas de venir. Quelque peu sur les nerfs, il s’en alla en claquant la porte, espérant qu’elle se réveille en sursaut cette biiiiip - pour votre sécurité, ce mot à été censuré. Se dirigeant alors d’un pas décidé vers la cuisine, il alla se servir dans le frigo du camp, et avala ce qu’il trouva.
Rassasié, il errait à présent dans l’enceinte du camp, allant un peu à l’extérieur pour prendre l’air. Il croisa un éducateur, qui lui demanda ce qu’il faisait en dehors de sa chambre à, à présent, 22 heures passées. Hunter, avec le plus grand calme possible, lui expliqua sa situation en quelques mots, ne prenant même pas la peine de faire une phrase. « Malade. Infirmière dodo. Faim. Manger. Besoin d’air. » L’éducateur, surpris, le regarda tout d’abord bizarrement. Vu la tête que faisait Hunt’ c’était évident qu’il ne plaisantait pas, pour une fois. Pâle comme un linge, et toujours aussi fébrile, malgré le fait qu’il se soit rassasié, il faisait peur, et ressemblait sans nul doute à un véritable zombie. L’éducateur, hocha alors la tête et le laissa errer dans le camp, s’éloignant rapidement pour ne pas attraper ses microbes. Continuant son petit tour, Hunter s’arrêta quelques minutes dehors pour prendre un bol d’air frais, mais se sentant à nouveau au plus mal, il décida de rentrer. Passant devant le salon, la porte légèrement ouverte, et voyant de la lumière, entendant du bruit, Hunter, intrigué, décida alors d’y pénétrer. Le bruit était du à la conversation de deux adolescentes, mais pas n’importe lesquelles. Heaven Blackwood, cette peste vicieuse et venimeuse, et… et… Helori. Sa douce amie, à qui il attachait beaucoup d’importance et avait beaucoup d’affection pour elle. La jeune fille était en larmes, et Hunter n’hésita pas à aller voir ce qu’il se passait, malgré son état pitoyable.
HUNTER ▬ Espèce de g*rce ! Dit-il en s’approchant avec fureur d’Heaven. Qu’est-ce que tu lui as fait ?! Qu’est-ce qu’elle t’as fait ? Demanda-t-il alors à Helori en se tournant vers elle.
Sa première question, destinée à Heaven, avait été une de ces questions rhétoriques que l’on posait, sans attendre de réponse en retour. Après tout, il la connaissait cette peste, et savait qu’elle ne lui dirais surement pas la vérité aussi facilement.
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Sujet: Re: Ménage à Trois... Dim 19 Sep - 20:54
HEAVEN - « Écoute, tu n'étais pas censé voir et savoir ça. C'est ce qu'on m'a dit, et j'ai eu la confirmation de l'éducateur, qu'Hunter avait rendez vous ce matin dans le bureau de la dirlo pour être sévèrement sanctionné. Mais il semblerait qu'il l'a dit ses propos déjà à beaucoup de personnes, tu aurais du faire attention à lui, c'était marqué sur son dossier: qu'il voulait coucher avec toutes les filles qu'il parlait. C'est un p*tain de mec comme les autres! »
larmes me roulaient sur les joues, je n’arrivais pas a le croire. Je répéter le message dans ma tête en boucle. C’est impossible, comment Hunter a pu faire ça. Je lui faisais confiance. Et depuis quand cette sal*pe se range de mon coter ?
HEAVEN- « Enfin bon tu sais ma chérie, moi ca ne m'étonne pas. Malgré ce que tu penses, Hunter m'a fait des avances la première semaine au campus. J'ai refusé de coucher avec lui pour ne pas etre une de ses proie et c'est pour ca que depuis il me hait, et c'est d'ailleurs pour ca qu'il t'a raconté des salades sur moi. Je ne suis pas si méchante que ca, avec les gens gentils, j'suis gentille. »
Mais qu’est ce qui ce passe a la fin ? Je suis perdu. Je suis sur que c’est affreux cauchemar et que je vais bientôt me réveiller. Je n’ais en aucun cas confiance en Heaven. D’ailleurs, je n’ais plus confiance en personne. Quand on donne sa confiance a quelqu’un il vous poignarde dans le dos. Je les déteste, je le déteste. Je ne veux qu’une chose m’en aller d’ici. Cet endroit ne fait qu’empirer ma souffrance et ma haine. J’entendis la porte s’ouvrir et redresse la tête. Hunter venait d’entrer et s’avança d’abords vers heaven.
HUNTER ▬ Espèce de g*rce ! Dit-il en s’approchant avec fureur d’Heaven. Qu’est-ce que tu lui as fait ?! Qu’est-ce qu’elle t’as fait ? Me Demanda-t-il en se tournant vers moi.
HELORI – tu ose vraiment le demander ? Dis-je les yeux remplis de larme.
Je ne réfléchis pas une seule seconde et le gifle. J’étais remplie de rage et de tristesse. Je le regarde a peine et par en le bousculant. Avant de franchir la porte, je me retourne vers lui et le regarde droit dans les yeux.
HELORI – Je te haie !
Je sors en claquant la porte et m’effondre en larme derrière celle-ci. Je ne savais pas quoi faire. Je ne pouvais pas quitter cette endroit, je ne pouvais pas éviter Hunter, j’étais pris au piège.
▬ Messages : 20 ▬ Arrivé à Waka² le : 29/08/2010 ▬ Age : 30
Sujet: Re: Ménage à Trois... Mer 29 Sep - 20:39
Heaven n'aurait jamais pensé créait une telle ambiance dans une vieille bibliothèques. Qui sait? Peux être que ses pièces remplit de vieux bouquins reviendra un endroit « tendance ». Cela dit, même dans nos pires cauchemars, c'est impossible, pensait-elle. Des gifles dans la salle, il y en avait, des larmes, encore plus! Heaven sanglotait à son tour... de rire! Ils ne savaient pas à quel point ils se rendaient ridicule. Heaven avait l'habitude de se sentir supérieur aux autres, mais là il y avait de quoi, l'intelligence ne volait pas très haut chez les deux autres cadavres.
Hunter- « Espèce de g*rce ! Dit-il en s’approchant avec fureur d’Heaven. Qu’est-ce que tu lui as fait ?! Qu’est-ce qu’elle t’as fait ? Demanda-t-il alors à Helori en se tournant vers elle. »
Après l'agression inutil d'Hunter. Non elle le trouvait quand même assez craquant se Hunter, elle l'avouait, elle l'avouait. Peux-être qu'un jour, l'un entrera dans l'autre, ou vice versa. On ne savait pas trop à quoi s'attendre avec Heaven. Vous le savez, ce genre de fille, au final sont très intéressante, pleines de surprise, pleines de malignité. Pour peaufiné sa manipulation, elle attendit un moment avant d'entrer dans ce que l'on peut appeler la dispute. Car vous le savez, elle n'a rien à se reprocher, elle le sait, car au fond, qu'est-ce que le monde serait sans elle? Réfléchissez bien. Ça serrait un bout de rien. C'est comme, s'il n'y aurait pas d'abroutis sur Terre, alors la vie serait triste, serait lassante. Même s'il nous font bien chier, il nous apporte au tant de douleur que de bonheur.
HELORI- « Je te haie ! »
Après la gifle, les pleurs et la haine, c'est le baiser, non?! Pensa-t-elle. N'imaginez même pas à quel point se réjouisse la blonde aux yeux noir. Heaven, et plus d'un milliards de tours horrible dans son tirroir, observait la situation. Elle dégénéré, ça c'est clair, mais c'était ce qu'il a fait, ou du moins, de ce qu'elle attendait. La vierge s'échappa comme une... vierge. D'ailleurs, une chose qui n'échappa pas à Heaven, c'est bien son gros arrière train. Nôtre blonde se demandait même comment qu'elle avait fait pour passer entre la porte. Bon allez, « let's go! » Heaven. Pour améliorer la situation -enfin, l'empirer pour les autres- Heaven s'approcha de cette chose... D'ailleurs c'était quoi son prénom?! Ah oui voilà, Hunter. Il l'a regardé comme ci qu'il avait envie de la brûler à vif. Quoi que avec les expériences d'Heaven, elle trouvait que se regard ressemblait au sadomasochiste qu'il veule faire une double pénétration. Les vilains coquins, pensa-t-elle. En vain, Heaven giffla somptueusement Hunter. Avec une envie, tellement joyeuse, tellement désiré. Elle ajouta, comme qu'on ajouté la cerise sur un gateau:
HEAVEN- « Ah mon Hunter! Tu sais bien que l'autre joue était jalouse. C'est la règle, t'en frappe une, il faut frapper l'autre. Tu sais je t'aime beaucoup pour me donner au tant de plaisir. Finallement, je me souviendrais de toi, et tes vilains petit plaisir que tu me donnes. Je te revaudrais mon putain d'Hunter. Je te revaudrais ça. »
Elle se retourna, alla au canapé reprendre ses affaires. Se penchant « à la façon prostituée ». Il faut bien que ses beau fessiers servent à quelque chose, non? Se retourna et se retrouva une seconde fois en face de cette chose. Il était tellement ténorisé. A vrai dire, des évènements du genre n'arrivait pas tous les jours. Elle s'approcha une seconde fois de son visage, et plus particulièrement de son oreille. HEAVEN - « T'es vraiment vilain à regarder les filles de cette façon, tu mériterais que je te fasse une bonne petite punition. Mais bon tu sais bien, il faut que j'aille réconcilier ma nouvelle meilleure amie. Au fait, toute mes condoléances pour t'avoir fait perdre une vierge dans ton tableau de chate. »
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Sujet: Re: Ménage à Trois... Ven 1 Oct - 20:47
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Dans ce fichu camp, on pouvait vraiment en voir de toutes les couleurs… Helori, son amie à qui il tenait beaucoup et qu’il avait rencontré ici, était accompagnée, dans le salon, de cette peste de Blackwood, qu’elle détestait, elle aussi. Alors, bien sûr, lorsque le jeune homme avait vu son amie en pleurs, il n’avait pas douté une seule seconde que le mal qui la rongeait était tout droit venu de cette peste venimeuse. D’où pouvait-il provenir autrement ? En aucun cas il n’avait ne serait-ce qu’osé imaginé que la raison de sa tristesse était dû par sa faute. Après tout, il n’avait rien à se reprocher, et c’est donc tout naturellement que lorsqu’il entra dans la pièce et analysa la situation durant une fraction de seconda, il se dirigea vers la peste venimeuse en lui demandant ce qu’elle avait fait à son amie. Hunter savait pertinemment, comme la plupart des adolescents présents au camp, qu’il fallait se méfier de cette fille-là. Disait-elle, rien que de temps en temps, la vérité ? Se montrait-elle douce avec certaines personnes ? Avait-elle des amis ? Pleins de questions se posaient souvent à son sujet, mais celle qui revenait le plus souvent était en général : de quoi est-elle capable ? Ca, il n’allait pas tarder à le découvrir, malheureusement pour lui. Son amie, Helori, ne tarda pas à lui demander comment il osait lui demander ce qu’elle lui avait fait, insinuant quelque chose qu’il ne fut pas capable de comprendre. Ahuri et surpris par sa question, ses yeux ne tardèrent pas à s’écarquiller. Il avait oublié la présence de la blondasse dans le salon, tout du moins, pour le moment. Mais la brune ne tarda pas à le gifler, puis à le bousculer en se dirigeant vers la sortie, toujours les larmes aux yeux.
HUNTER ▬ Helori attends… Je… avait-il commencé lorsqu’elle s’était dirigée vers la porte.
En vain. Avait-il manqué un épisode ? Que lui reprochait-elle ? Qu’avait-il fait ? Rien, à première vue. Avant de quitter le salon, elle lui avait dit qu’elle le haïssait, ce qui lui fit beaucoup de peine. Il avait réussi à s’ouvrir à cette jeune femme, et ses paroles le blessèrent au plus haut point. Quoi qu’il avait fait, elle ne voudrait sans doute plus jamais le revoir… Mais il ne laisserait pas gâcher l’autre peste à ce jeu, car bien sûr, elle avait du inventer toute une histoire. Il n’y avait que cette possibilité, car, après de longues minutes à réfléchir, à passer une à une les dernière conneries qu’il avait faites, il n’en trouva aucune susceptible de mettre son amie dans cet état. Oui, la source du problème ce n’était pas lui, mais bel et bien Blackwood. Elle avait tout manigancé, mais pour se sortir de ce pétrin, il fallait qu’il sache exactement ce qu’elle lui avait dit, et fait croire. Hunter entendit quelques sanglots, non loin de là. Helori devait être restée de l’autre côté de la porte, quelque part, assise, à pleurer, à se demander pourquoi.. Mais pourquoi quoi ? Alors, il décida d’essayer de faire cracher le morceau à la blondasse, en croisant les doigts pour qu’elle n’ai pas entendu, elle aussi, les sanglots de la brune. Enervée comme pas possible, il fusilla Heaven du regard, l’air de lui faire comprendre qu’elle avait commencé un jeu très dangereux, et qu’elle ne savait pas où elle mettait les pieds. Car oui, Hunter ne se laisserait pas faire, c’était sûr et certain. Mais pour la deuxième fois en l’espace de cinq minutes, le jeune homme se fit gifler, maudissant la blonde. C’était quoi cette manie qu’avait les filles de gifler les mecs ? Honnêtement, c’était.. Stupide, et douloureux. Il l’écoutait à peine parler, et lorsqu’elle eu finit, il lui répondit.
HUNTER ▬ J’imagine, en effet, que regarder tes petites magouilles, tes petits complots, se réaliser, ça doit te procurer un bien fou. Comme jouer avec les gens. Ta spécialité à toi. C’était quoi ton idée cette fois ? Tu lui as dit qu’en fait, les filles je m’en servais juste pour coucher, et que je ne l’appréciais pas ? Tu lui as dis qu’elle ne comptait pas pour moi, qu’elle n’était qu’un passe-temps, pour ne pas s’ennuyer au camp ? Ou quoi ?
Il avait beau réfléchir, il ne connaissait pas toutes les idées machiavélique qui traversaient le cerveau de la blonde. Loin de là. Il n’était pas aussi insensible, vicieux et froid qu’elle ! Enfin, il ne pensait pas l’être. Lui, il avait des amis au moins, même si elle essayait de les lui voler, preuve qu’elle n’était pas capable de s’en faire elle-même. Tiens, il utiliserait sans doute cette information plus tard, elle pourrait lui être utile. Lorsqu’elle s’était dirigée vers le canapé, et s’était baissé pour prendre ses affaires, Hunter n’eut qu’une envie, celle de lui donner un grand coup de pied dans les fesses, fesses qu’elle n’hésitait pas à montrer à tout bout de champ. Lorsque Heaven revint vers lui, elle s’approcha de son oreille et lui murmura des choses qu’il n’apprécia pas. C’est pour cette raison qu’il lui saisit violemment le poignet, et la força à lui faire face.
HUNTER ▬ Écoute moi bien petite garce, c’est pas du haut de tes.. Quoi 17 ans j’imagine, que tu vas pouvoir, avec des inventions idiotes, m’éloigner d’elle. J’apprécie énormément Helori, et je n’ai jamais pensé à aller plus loin avec elle. Tu veux que je te dise pourquoi ? Parce qu’elle a un cœur, et que c’est une fille bien. Elle est vierge oui, et alors ? Ca te pose un problème parce que t’as perdu ta virginité trop tôt et que tu le regrettes ou quoi ? Parce qu’il faut sacrément être jalouse pour faire des coups aussi bas. Avoue-le au moins, ça te fais plaisir de détruire les gens, de les blesser hein ? C’est quoi ton petit secret à toi ? On t’as blessé comme ça et tu ne l’as pas supporté ? Pour ça que tu te venges ? C’est pitoyable, dit-il en la lâcha violemment.
Une chose était sûre. Pour qu’elle se comporte de la sorte avec tout les gens autour d’elle, il avait du lui arriver un violent traumatisme, sinon, Hunter ne comprenait vraiment pas pourquoi elle était comme ça. Mais il chercherait son secret, coûte que coûte.
Sujet: Re: Ménage à Trois...
Ménage à Trois...
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